Histoire du groupe
1965-1968 : l'attraction psychédélique
Après plusieurs formations étudiantes aux membres (Juliette Gale, Bob Klose, Clive Metcalf, Keith Noble) et aux noms divers (T-Set, The Abdads, The Architectural Abdads, Sigma 6), le groupe se constitue autour de Syd Barrett (chant et guitare), Richard Wright (claviers et chant), Roger Waters (basse et chant) et Nick Mason (batterie et percussions). Un des noms originaux du groupe, T-Set, est abandonné après que le groupe se soit trouvé à l'affiche avec un autre groupe du même nom. Barrett propose sur le coup une alternative, The Pink Floyd Sound. Le nom est un hommage à deux musiciens de blues, Pink Anderson et Floyd Council. Le Sound est vite abandonné. Propulsé au devant de la scène rock underground londonienne grâce à ses concerts à l'UFO Club, le groupe développe des compositions principalement écrites par Barrett, mélange de rock psychédélique américain, de whimsy britannique et d'un peu de blues, particulièrement dans les solos de guitare.
Le groupe signe un contrat avec EMI en 1967 et sort quelques singles : Arnold Layne en mars, See Emily Play en juin. Sorti en août 1967, le premier album du groupe, The Piper at the Gates of Dawn (nom tiré d'un chapitre du Vent dans les Saules de Kenneth Grahame), est considéré comme un exemple typique de psyché folk britannique. L'album est un succès au Royaume-Uni, mais pas aux États-Unis. À cette période, le groupe part en tournée avec Jimi Hendrix, ce qui lui vaut une certaine notoriété.
En 1968, Syd Barrett souffre d'une dépression nerveuse attribuée notamment à l'usage prolongé de drogues psychédéliques (essentiellement le LSD), à la pression de vie de groupe, aux enregistrements et aux tournées permanentes. Il s'avère également que Syd souffre depuis le départ de schizophrénie, qui se serait manifestée tardivement, peut-être déclenchée soudainement par la drogue et le stress. Ses performances scéniques se limitent à jouer la même note pendant toute la soirée. Le comportement de Barrett dans la vie courante est devenu imprévisible : il oublie où il se trouve, ne se rend pas aux concerts. Afin de permettre tout de même au groupe de jouer, les autres membres invitent le guitariste David Gilmour, ami d'enfance de Barrett, à rejoindre le groupe afin de pouvoir assurer des spectacles. Gilmour doit prendre en charge les parties de guitare et de chant normalement assurées par Barrett. Pink Floyd joue ainsi à cinq pendant une très courte période, avant d'exclure Syd Barrett, devenu totalement incapable de jouer sur scène.
Alors que Barrett a écrit la majeure partie du premier disque, The Piper at the Gates of Dawn (1967), il contribue peu au second A Saucerful of Secrets (1968), forçant le groupe à prendre une nouvelle direction. Avec la perte de leur principal compositeur et fondateur, David Gilmour reste pour conserver l'intégrité du groupe. Avec son arrivée, le son se durcit un peu.
1969-1972 : expérimentations musicales et envol du groupe
En 1969 le groupe compose la bande originale du film More de Barbet Schroeder. Cette dernière se distingue par un son acid folk et même heavy metal avec The Nile Song. Le disque suivant Ummagumma (1969), est un mélange d'enregistrements de prestations scéniques et d'expérimentations avant-gardistes signées séparément par chacun des membres. Avec cet album, Pink Floyd s'écarte de ses prétentions underground pour un son rock un peu moins psychédélique et plus conventionnel confirmé dans les trois albums suivants. Atom Heart Mother, sorti en 1970, est un exemple d'album rock avant-garde avec la suite éponyme, instrumentale, longue de 23 minutes à laquelle participe un orchestre classique, et une autre pièce instrumentale, Alan's Psychedelic Breakfast, collage de sons d'un petit déjeuner (pris par Alan Stiles, un roadie du groupe) entrecoupés de courts passages musicaux. Stanley Kubrick aurait demandé à Roger Waters la permission d'utiliser Atom Heart Mother pour son film Orange mécanique (1971). Cependant, cette permission lui aurait été refusée. Le groupe aurait par la suite regretté après avoir visionné l'œuvre de Kubrick. Au même moment, ils contribuent à la musique du film Zabriskie Point de Michelangelo Antonioni, sorti en février 1970. Malgré une certaine insatisfaction du réalisateur, qui ne garde finalement que quelques morceaux proposés par le groupe, la thématique et l'esthétique du film correspondent tout à fait à ce que Pink Floyd fait à l'époque.
Sorti en 1971, Meddle est probablement l'album qui a consacré Pink Floyd comme un des groupes majeurs de l'époque grâce à One of These Days, devenu un classique de leurs concerts, et surtout Echoes, un titre long de 23 minutes. Une légende persistante veut que Echoes, dernier morceau de Meddle, soit synchronisé avec la dernière section du film 2001, l'odyssée de l'espace, sorti trois ans plus tôt. Par ailleurs, c'est Meddle qui définit le son de Pink Floyd comme progressif, c'est-à-dire de longues pièces complexes et souvent divisées en plusieurs mouvements.
Finalement, Obscured by Clouds (1972), bande sonore pour un nouveau film de Barbet Schroder (La Vallée), confirme la voie empruntée par les musiciens de Pink Floyd. Cette même année, le groupe tourne un concert à Pompéi, qui détonne par son absence totale de public : le groupe joue seul au milieu des ruines de la cité romaine. Pour beaucoup, ce concert, sorti en salles de cinéma, est le summum du "Son Pink Floyd", progressif et planant.
1973-1977 : les années glorieuses
David Gilmour réfute les accusations de tentations commerciales lorsque l'album Dark Side of the Moon connaît un succès massif en 1973, notamment grâce au titre Money. Cet album reste dans le Top 200 américain pendant plus de quatorze ans, battant de nombreux records, c'est le troisième album le plus vendu de tous les temps avec 35 millions d'exemplaires. Sa pochette, œuvre d'Hipgnosis représentant la diffraction de la lumière par un prisme, est restée célèbre. Dark Side of the Moon est un album-concept dont les thèmes dominants sont la vieillesse (Time), la folie (Brain Damage) et la mort. C'est un album techniquement très élaboré, avec l'utilisation d'un nouvel enregistreur 16 pistes aux studios d'Abbey Road, le talent de l'ingénieur du son Alan Parsons, les titres sont méticuleusement enchaînés, la guitare de Gilmour est envoûtante ; Rick Wright joue de ses synthétiseurs de manière tellement innovante qu'elle va donner l'exemple à tout un courant musical, en Allemagne surtout. À partir de cet album, Roger Waters émerge comme unique parolier du groupe.
Dark Side of the Moon et les trois albums suivants (Wish You Were Here, Animals et The Wall) sont souvent considérés comme les plus aboutis de la carrière de Pink Floyd.
Des tensions commencent à émerger lors de l'enregistrement de Wish You Were Here (1975), qui auraient pu conduire à la dissolution du groupe, mais les efforts des membres génèrent un album touchant. Le morceau principal, Shine On You Crazy Diamond est un long hommage à Syd Barrett dont l'esprit semble continuer à hanter le groupe. Welcome to the Machine et Have a Cigar sont des critiques acerbes de l'industrie du disque, tenue pour responsable de la déchéance de Syd. Wish You Were Here, ode acoustique aux absents, conclut l'album. Pendant l'enregistrement de cet album, Syd est apparu dans le studio. Les membres du groupe ne l'ont initialement pas reconnu tant il avait changé.
En 1977, avec l'enregistrement de l'album Animals, le groupe est de plus en plus critiqué et stigmatisé par le courant punk pour qui il symbolise l'avachissement et la prétention du rock bien loin de la simplicité des débuts du rock'n'roll. La guitare a cependant une influence nettement plus importante sur cet album que sur ses prédécesseurs. Il contient de longs morceaux liés par un thème commun, emprunté en partie à La Ferme des animaux de George Orwell, où les cochons (Pigs on the Wing, Pigs (Three Different Ones)), les chiens (Dogs) et les moutons (Sheep) sont une métaphore de la société contemporaine. La pochette de l'album représente la Battersea Power Station survolée par un énorme cochon commandé pour l'occasion à une fabrique hollandaise de zeppelins. Le fil reliant le cochon au sol ayant cédé, le ballon s'envole et est finalement retrouvé dans un champ près de Canterbury. La pochette de certaines éditions de l'album contient d'ailleurs des copies de coupures de presse expliquant que la RAF est intervenue pour intercepter « les cochons volants ». Lesdits cochons gonflables deviennent par la suite un élément récurrent des concerts du groupe, parfois adaptés aux circonstances : ainsi, les cochons de la tournée qui suit The Wall sont noirs et arborent l'emblème des marteaux croisés sur le flanc.
Lors du concert de la tournée Animals à Montréal en 1977, Waters, rendu furieux par le comportement chahuteur du public, crache à la figure d'un spectateur. Cet épisode lui inspire l'idée d'un artiste qui bâtirait un mur entre lui et son public, idée qui devient finalement The Wall.
1978-1986 : la domination de Roger Waters
Roger Waters jouant In the Flesh, un morceau de The Wall. Les marteaux croisés sur fond rouge et blanc sont un des symboles de l'album.
À la fin de 1978, Roger Waters présente aux membres du groupe deux albums déjà écrits : The Wall (dont les thèmes principaux sont le mur séparant l'artiste de ses fans et l'aliénation de l'individu par la société) et The Pros and Cons of Hitch Hiking. The Wall sera choisi, et le deuxième sera enregistré plus tard et en solo par Roger Waters.
La critique salue avec enthousiasme The Wall en 1980, quelques phrases extraites des textes vont marquer les esprits : We don't need no education, we don't need no thought control (« nous n'avons pas besoin d'éducation, nous n'avons pas besoin de maîtres à penser ») et Comfortably Numb (« confortablement engourdi »). Il marque le début d'une collaboration entre le groupe, le compositeur Michael Kamen et le producteur Bob Ezrin. Cet album, prélude à une série de concerts dont la logistique est tellement lourde que la tournée ne couvrira que quatre lieux (immortalisée en 2000 par la sortie d'un double album : Is There Anybody Out There?), témoigne de l'influence grandissante de Roger Waters. Les autres membres du groupe subissent, et Wright est finalement exclu par Waters durant les séances d'enregistrement de l'album, en jouant cependant comme musicien d'accompagnement lors de la tournée.
Le film Pink Floyd The Wall, réalisé par Alan Parker, sort en 1982. Il a de particulier que la seule bande sonore est formée par les morceaux de l'album : il n'y a quasiment pas de dialogues conventionnels. Les scènes filmées alternent avec des animations de Gerald Scarfe.
En 1983 sort The Final Cut, album sombre et atypique qui n'a d'album de Pink Floyd que le nom, puisqu'on peut lire sur la pochette que c'est une œuvre de Roger Waters, interprétée par Pink Floyd. Waters, qui a pris de plus en plus d'importance dans le groupe, estime que celui-ci n'a plus vraiment de raison d'être. Ne pouvant dissoudre le groupe par contrat, il quitte Pink Floyd en 1986, en se disant que celui-ci ne survivra pas à son départ puisqu'il en était devenu la seule force créatrice.
1987-1995 : David Gilmour prend les rênes
Ce n'est pas l'avis de David Gilmour, qui en 1986 décide de relancer le groupe avec Nick Mason. Des batailles juridiques s'engagent avec Roger Waters qui leur conteste le droit au nom du groupe sans sa présence. C'est pourtant sous le nom de Pink Floyd qu'ils sortent en 1987 A Momentary Lapse of Reason, ayant été entre-temps rejoints par Richard Wright, officiellement réintégré après la tournée qui suivit. Du fait de l'absence de Waters, principal parolier du groupe depuis une décennie, le groupe dut se faire épauler à l'écriture et à l'enregistrement par un certain nombre de musiciens externes, dont Tony Levin, bassiste et violoncelliste de Peter Gabriel, et Scott Page, saxophoniste, guitariste et flûtiste entre autres du groupe Supertramp durant leur tournée de 1983 ainsi que sur l'album Brother Where You Bound (1985), auquel avait participé David Gilmour. Gilmour admit plus tard que les contributions de Mason et Wright à cet album étaient des plus minimes, et bon nombre de critiques estiment que A Momentary Lapse of Reason devrait plutôt être considéré comme un album solo de Gilmour, tout comme The Final Cut pour Waters.
En 1994, c'est un groupe plus soudé qui sort The Division Bell, sur lequel on notera la participation de Michael Kamen. Cet album, que la critique préféra à son prédécesseur sans toutefois l'acclamer, est le prélude d'une gigantesque tournée mondiale, immortalisée par l'album live P·U·L·S·E (1995).
Depuis 1995 : vers une reformation ?
Pink Floyd s'est reformé le temps d'un concert à l'occasion du Live 8, le 2 juillet 2005, à Londres, à Hyde Park. Le groupe est au complet, avec David Gilmour, Roger Waters, Nick Mason et Richard Wright, et avant d'entamer Wish You Were Here, Roger a rendu hommage à Syd :
« C'est un moment émouvant, debout ici avec ces trois gars, après toutes ces années. Debout avec vous tous. Quoi qu'il en soit, nous le faisons pour ceux qui ne sont pas là, en particulier pour Syd bien sûr. »
Durant la semaine qui suit, les albums du groupe connurent un regain : selon la chaîne de magasins HMV, les ventes de Echoes: The Best of Pink Floyd ont cru de 1343%, et Amazon indique que les ventes de The Wall ont augmenté de 3600%, celles de Wish You Were Here de 2000%, celles de Dark Side of the Moon de 1400% et celles de Animals de 1000%. David Gilmour a déclaré par la suite qu'il reverserait la part des profits dues à ce boom des ventes à des œuvres de charité, et a incité les autres artistes ayant participé aux concerts à faire de même.
Des rumeurs d'une éventuelle reformation de Pink Floyd circulent depuis le Live 8, mais elles semblent infondées. C'est ce qu'a déclaré David Gilmour au quotidien italien La Repubblica, alors que beaucoup de fans croyaient dur comme fer que Pink Floyd redonnerait des concerts avant la fin de l'année 2005 :
« Le groupe ? C'est terminé. On s'est juste réuni pour la bonne cause, mais franchement je n'en ai plus du tout envie... Et ça n'a rien à voir avec Roger Waters, parce que même sans lui je ne reformerai pas Pink Floyd. Jouer avec Pink Floyd demanderait trop de travail, et j'en ai marre des pressions. Maintenant j'ai une vie tranquille, et puis j'ai 60 ans... Je préfère bosser seul, et je le vis très bien. »
À noter que, selon le magazine Rock & Folk d'août 2006 (numéro 468), David Gilmour a invité Roger Waters pour son dernier concert de sa tournée On An Island, à Londres. Selon Nick Mason, « David a invité Roger au Royal Albert Hall, mais ce dernier répétait et ne pouvait se rendre disponible. »
Le 31 mai 2006, lors du dernier concert de David Gilmour au Royal Albert Hall à Londres, il est rejoint par Nick Mason sur le titre final, Comfortably Numb, reconstituant Pink Floyd le temps d'un morceau. En effet Rick Wright (ainsi que Jon Carin) font partie du groupe de tournée de David.
Le 7 juillet 2006, Syd Barrett meurt à Cambridge des suites de complications liées au diabète, à l'âge de 60 ans.
Le 10 mai 2007, Roger Waters a participé au concert hommage à Syd Barrett au Barbican Centre de Londres. Plus tard dans la soirée furent annoncé « Rick Wright, David Gilmour, Nick Mason ». Pink Floyd était donc de nouveau réuni sur scène pour interpréter Arnold Layne suivi de la participation de tous les artistes de la soirée pour Bike. Fait notable, Roger Waters n'était présent sur aucun de ces deux titres, et il fut le seul à ne pas participer au final.
Le 15 septembre 2008 ,Richard Wright, membre fondateur et claviériste des Pink Floyd, est décédé , des suites d'un cancer à l'âge de 65 ans, a annoncé le porte-parole du groupe.
Richard Wright est mort chez lui, en Grande-Bretagne.
Anecdotes
* À l'issue du Live 8, David Gilmour aurait déclaré que rejouer avec le groupe, « c'était comme dormir à coté de son ex-femme... »
* Un astéroïde a été nommé Pink Floyd en l'honneur du groupe.
* Dans la chanson Another Brick In The Wall, les enfants qui chantent sont collégiens à Islington Green School, un collège voisin du studio où a été enregistrée la chanson.
Composition du groupe
1965
* Syd Barrett – guitare rythmique, chant
* Bob Klose – lead guitar
* Roger Waters – guitare basse, chant
* Rick Wright – claviers, chant
* Nick Mason – batterie, percussions
1965–1968
* Syd Barrett – guitare, chant
* Roger Waters – basse, chant
* Rick Wright – claviers, chant
* Nick Mason – batterie, percussions
1968
* David Gilmour – lead guitar, chant
* Syd Barrett – guitare rythmique, chant
* Roger Waters – basse, chant
* Rick Wright – claviers, chant
* Nick Mason – batterie, percussions
1968–1981
* David Gilmour – guitare, chant
* Roger Waters - basse, chant
* Rick Wright – claviers, chant
* Nick Mason – batterie, percussions
1981–1985
* David Gilmour – lead guitar, chant
* Roger Waters – basse, chant, guitare rythmique, claviers
* Nick Mason – batterie, percussions
1985–1987
* David Gilmour – guitare, chant, basse, claviers
* Nick Mason – batterie, percussions
depuis 1987
* David Gilmour – guitare, chant, basse
* Rick Wright – clavier, chant
* Nick Mason – batterie, percussions
Albums studio
* The Piper at the Gates of Dawn (1967)
* A Saucerful of Secrets (1968)
* More (1969)
* Ummagumma (1969)
* Atom Heart Mother (1970)
* Meddle (1971)
* Obscured by Clouds (1972)
* Dark Side of the Moon (1973)
* Wish You Were Here (1975)
* Animals (1977)
* The Wall (1979)
* The Final Cut (1983)
* A Momentary Lapse of Reason (1987)
* The Division Bell (1994)
Enregistrements live
* Ummagumma (1969)
* Delicate Sound of Thunder (1988)
* P·U·L·S·E (1995)
* Is There Anybody out There? The Wall Live 1980-81 (2000)
Compilations
* Relics (1971)
* Masters of Rock (1974)
* A Collection of Great Dance Songs (1981)
* Works (1983)
* Shine On (coffret 9 CD) (1992)
* Echoes: The Best of Pink Floyd (2001)
Autres
* 1970, Zabriskie Point, participation à la musique du film éponyme de Michelangelo Antonioni, notamment avec le morceau Careful With That Axe, Eugene.
* 1999, Pink Floyd in London 1966*1967, avec un CD-ROM bonus (vidéo et interview) ;
* 2003, Dark Side of the Moon en SACD (pochette spéciale à l'occasion du trentenaire de l'album) ;
Filmographie
* 1972, Pink Floyd: Live at Pompeii, d'Adrian Maben ;
* 1982, Pink Floyd The Wall, un film d'Alan Parker, écrit par Roger Waters, avec Bob Geldof et des animations de Gerald Scarfe ;
* 1992, La Carrera Panamericana
* 1995, P·U·L·S·E, vidéo du concert à Earl's Court, Londres ;
* 1999, London '66-'67 ;
* 2003, Pink Floyd : Live at Pompeii - The Director's Cut, d'Adrian Maben ;
* 2003, The Dark Side of the Moon ;
* 2006, Pink Floyd P·U·L·S·E (DVD du spectacle retouché et réétalonné).
Bibliographie
* 2001 : Psychedelic Renegades photos de Syd Barrett par Mick Rock (Genesis Publications) ;
* 2004 : Pink Floyd : L'histoire selon Nick Mason de Nick Mason et Philip Dodd (Éditions EPA).